Formé au Stade Malherbe de Caen, Benoit Costil est depuis 2011 le gardien de but du Stade Rennais.
Champion d’Europe avec l’équipe de France des moins de 17 ans en 2004, il a connu toutes les sélections nationales, jusqu’à l’équipe de France A, le sélectionneur Didier Deschamps ayant fait appel à lui pour la première fois le 5 octobre 2014.
Benoit a accepté d’accompagner l’AF Virois dans son projet.
Le mot du parrain : Je suis très attaché au football amateur, à ses valeurs de convivialité.
On se doit, nous joueurs professionnels, de ne pas oublier la base. Je suis de la région, Christophe Lécuyer est un ami depuis longtemps, alors quand il m’a proposé de l’accompagner dans son projet virois, je n’ai pas hésité, j’ai dis oui tout de suite.
Le projet est intéressant, il y a des choses sympas à faire à Vire. Dans la mesure de mes disponibilités, j’essaie d’être présent au club, de venir rencontrer les joueurs, les éducateurs, les partenaires.
C’était symbolique de venir jouer ici cet été avec Rennes contre Caen, mon club formateur. Ce fut en plus un moment merveilleux, il y avait énormément de monde, c’est un super souvenir. J’espère que le club va continuer à progresser, vive l’AF Virois ! ».
Le mot du président : » C’est une fierté pour nous de pouvoir compter sur le soutien de Benoit.
On se connait depuis longtemps, cela fait plusieurs années maintenant que ça nous trottait dans la tête de mener un projet ensemble. Benoît représente toutes les valeurs qui font qu’on aime le sport : c’est quelqu’un de talentueux, d’humble, de disponible et de généreux.
Cet été, il a tenu à participer financièrement à l’équipement des joueurs et des dirigeants. Nous y sommes très sensibles.
Il a été adopté par tout le monde dès qu’il est venu ici pour la première fois. Son ascension n’a rien de surprenante, mais elle est amplement méritée.
Cela repose sur le talent et sur le travail.
Benoît, c’est un exemple à suivre pour tous les jeunes qui rêvent d’embrasser une carrière professionnelle.
Nous sommes tous très fiers de lui, il sait qu’à Vire, il est chez lui ».